Notre histoire
Le Cabinet a été créé par Henri MERCIÉ, titulaire d’une charge d’avoué près le Tribunal de Grande Instance de TOULOUSE, au début des années 1960.
Devenu avocat par l’effet de la réforme de 1972, il a développé avec l’aide de nombreux collaborateurs un des plus gros cabinets toulousains.
En 1987, Henri MERCIÉ a constitué avec ceux qui étaient déjà ses collaborateurs, Elisabeth FRANCES, Marc JUSTICE-ESPENAN et son fils Régis MERCIÉ, une des premières Société Civile Professionnelle d’Avocats Toulousaines.
Trois ans plus tard, Henri MERCIÉ prenait sa retraite, laissant ses trois associés poursuivre le développement du Cabinet avec plusieurs collaborateurs et assistantes.
En 2012, Elisabeth FRANCES, spécialiste reconnue pour sa pratique des procédures de saisies immobilières, s'est vue distinguée par l'honorariat et exerce toujours une fonction de consultante au sein du cabinet.
Catherine BENOIDT-VERLINDE, sa collaboratrice, qui a bénéficié pendant plus de dix ans de sa formation en procédure civile d’exécution, lui a succédée.
Frédéric SIMONIN quant à lui, également ancien collaborateur, est devenu associé du Cabinet en janvier 2017.
Etienne DURAND-RAUCHER, également ancien collaborateur, est devenu associé du Cabinet en janvier 2020.
Le « Cabinet MERCIÉ – Société d’Avocats » est actuellement composé de quatre associés, trois avocats collaborateurs, et sept assistantes.
Son activité couvre les domaines aussi larges que
le droit bancaire, le droit immobilier, le droit de la responsabilité, le droit des assurances, le droit des suretés et de l’exécution avec une dominante dans les procédures de réalisation d’actifs immobiliers et de partage, le droit commercial et des baux commerciaux, l'assistance aux victimes et tout le droit de la famille.
Au-delà de ces activités dominantes, le « Cabinet MERCIÉ – Société d’Avocats » prend également en charge tout ce qui touche la vie privée (divorce, séparation et garde d’enfants, liquidation de régime matrimonial, succession…) pour lequel il cherche à favoriser l’utilisation des modes de règlements amiables.